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Wednesday, June 30, 2021

Santé Santé 5 aliments à consommer sans modération pour avoir une bonne vue - Paris Match Belgique

Santé

L’alimentation a un réel impact sur la santé de nos yeux et permet notamment de retarder l’apparition de cataractes ou de dégénérescence maculaire.

Avec l’âge, notre vision diminue et il faut porter des lunettes ou des lentilles pour soulager nos yeux. Pourtant, avec une bonne alimentation et des aliments adaptés, il est possible de limiter les effets du temps sur notre vue. Voici 5 aliments à consommer régulièrement pour aider nos précieux yeux.

Le saumon

L’oméga-3 est excellent pour nos yeux. Plus précisément, l’acide gras DHA est un oméga-3 participant au renouvellement des cellules photosensibles de la rétine. Il aide aussi les membranes et les nerfs à être plus souples, ce qui évite une dégénérescence du nerf optique. Et enfin, l’oméga-3 permet de lutter contre la sécheresse oculaire. Si vous n’aimez pas le saumon, vous pouvez aussi miser sur d’autres poissons gras, comme la sardine, le hareng, le maquereau, la truite…

Lire aussi > 5 idées reçues sur la nutrition minceur qui s’avèrent être fausses

L’orange

La vitamine C a un rôle très important dans la santé oculaire. Plusieurs études ont prouvé qu’elle permettait notamment de réduire le risque de développer des cataractes et la DMLA (la dégénérescence maculaire liée à l’âge), ou de retarder leur apparition. L’orange n’est pas la seule à contenir de la vitamine C, et il y a même d’autres fruits et légumes qui en contiennent plus. On peut par exemple opter pour le cassis, le poivron rouge, le kiwi ou les fraises.

Les épinards

Les épinards sont riches en lutéine et zéaxanthine, deux antioxydants qui protègent la rétine. Ils protègent les yeux des rayons UV, mais aussi de certaines maladies comme la DMLA. Vous pouvez également trouver ces antioxydants dans les jaunes d’œufs, les brocolis, les pois verts, le maïs, le chou vert frisé…

L’avocat

Tout comme la vitamine C, la vitamine E est aussi un bon antioxydant qui protège les yeux de maladies. Et bonne nouvelle, l’avocat en est rempli. Le corps humain ne produit pas de vitamine E, il faut donc veiller à bien en recevoir quotidiennement via notre alimentation ou avec des suppléments. On peut également en trouver dans les noix, les patates douces, les amandes, les noisettes, les graines de tournesol, l’huile de germe de blé…

Lire aussi > Alimentation : Les 5 idées reçues que vous devez oublier à tout prix

Les huîtres

Riches en zinc, les fruits de mer aident au bon fonctionnement du nerf optique. Le zinc aide également en transportant la vitamine A du foie à la rétine pour produire de la mélanine, un pigment protecteur dans les yeux. Pour ceux qui ne sont pas de grands amateurs, vous pouvez aussi manger du boeuf, du poulet, du homard, des graines de citrouille…

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Néograine à Tabes : des micro-végétaux en bio, de super aliments pour notre corps - France Bleu

Betteraves, radis, petits pois, blé, maïs… il existe mille et une façons de les consommer, en assaisonnement, garniture, mais aussi sous forme de salades, sandwichs, pizzas, cocktails, desserts, smoothies. Nous parlons des micro-végétaux produits à Tarbes par Néograine et Farima Fatmi. Les micro-pousses sont ces minuscules feuilles qui doivent être consommées au premier stade du développement de la plante. C’est ainsi qu’elles libèrent tous les nutriments contenus dans leur ADN, qui se révèlent être de super aliments pour le corps humain, mais aussi pour les animaux.

Une simple cuillère de ces légumes et céréales miniatures représente 400 grammes de légumes traditionnels

Karima Fatmi a installé sa production dans la ville de Tarbes en plein cœur du quartier de Laubadère. On la retrouve le vendredi et le samedi aux halles de Pau, au marché de Tarbes place Marcadieu, et pour l'été, elle sera Argelès-Gazost et Marciac. Les produits de Néograine sont disponible à La Ruche Qui Dit, un regroupement de producteurs à Tarbes et Lourdes. On suit cette incroyable aventure sur sa page Facebook Neograine

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Les bienfaits des aliments de saison du mois de juillet - Marie Claire

Après un soleil parfois timide au mois de juin, le mois de juillet augure des hausses de températures, la cuisine en extérieur et l’arrivée de ces plats typiques des saisons estivales. C’est le moment d’en profiter pour privilégier les aliments de saison. 

Face aux fortes chaleurs et à l’air plutôt sec du mois de juillet, la liste des fruits et légumes gorgés d’eau et de vitamines et de sels minéraux s’allonge pour hydrater notre organisme et compenser le manque d’eau causé par la transpiration. Les viandes et les poissons seront quant à eux une bonne source de protéines et d’oméga-3.

Les bienfaits des fruits du mois de juillet

Au mois de juillet, les fruits rouges sont toujours de sortie, avec leurs vertus antioxydantes et leurs apports en fibres et en minéraux. Aux fruits rouges, s’ajoutent les premières baies de l’été, les mûres, les myrtilles et les mirabelles, peu caloriques, elles aussi sont riches en fibres et surtout, ce sont des “super-aliments”, c’est-à-dire des condensés de vitamines et d’antioxydants.

Aux si appréciés melons et pastèques qui ont fait leur apparition le mois précédent, s'ajoutent les premiers abricots et brugnons, des fruits sucrés et plein de vitamines C, mais aussi des figues, riches en oligo-éléments et en minéraux. De quoi concocter des salades de fruits aussi variées que bonnes pour la santé. 

Liste des fruits à déguster en juillet

La vidéo du jour :

Les bienfaits des légumes du mois de juillet

Les crudités sont aussi les vedettes du mois de juillet. Parmi les légumes d'été on compte le concombre, les haricots verts, les salades diverses et variées, les blettes ou encore le chou sous toutes ses formes, sont des sources naturelles d’eau et de sels minéraux, idéales pour passer un été en forme. 

En juillet, c’est aussi toujours la pleine saison des légumes du soleil, parmi lesquels on retrouve l’aubergine, riche en potassium, zinc et magnésium ; le poivron, qui détient le record de vitamines C (plus que l’orange) ou encore la courgette, dont beaucoup de vertus se trouvent dans sa peau, riche en flavonoïdes.

Avec leur faible valeur calorique, ces légumes sont parfaits pour l'été, cuits ou crus et à privilégier autant que possible dans votre alimentation quotidienne. 

Liste des légumes à déguster en juillet

Poissons, fruits de mer et viandes, que consommer en juillet ?

Ne l’oublions pas, les poissons, fruits de mer et viandes répondent eux aussi à une saisonnalité à respecter. En effet, en ce qui concerne notamment les poissons et les crustacés, les périodes de pêche sont très régulées en fonction des saisons

Juillet marque l’ouverture de la saison de la pêche aux moules, qui contiennent des tas de bienfaits : elles sont riches en minéraux, comme le fer, le zinc mais aussi en sélénium et en vitamines B. La sardine est aussi toujours bien présente, avec son apport significatif en omégas.

Ce mois de l’été est aussi la grande période d’abondance du thon blanc, pour la simple et bonne raison que ce poisson ne fréquente les eaux européennes que durant les périodes estivales et en automne.  Ce gros poisson est une très bonne source de protéines.

La liste des poissons et fruits de mer à consommer en juillet

  • Poissons : anchois, colin, congre, lieu, maquereau, raie, saint-pierre, sardine, saumon, thon blanc, turbot
  • Crustacés : araignée de mer (début du mois de juillet), crevette, écrevisse, gambas, homard, langouste langoustine, tourteau
  • Céphalopode : seiche
  • Coquillages : bulot, moule

À noter que pour bon nombre d'espèces sous-marines, les mois d'été marquent un repos nécessaire à la reproduction et à la préservation des espèces. 

Côté viande, en été on consomme souvent de l’agneau, riche en zinc et en protéines, tout en limitant celle de porc et de mouton. Par ailleurs, on privilégiera aussi les viandes blanches, pauvres en graisse et riches en protéines, comme le lapin ou le poulet, mais aussi des viandes très légères comme la pintade. 

La liste des viandes à déguster en juillet

  • Viande de boucherie : agneau et veau
  • Volailles : lapin, pigeon, pintade, poulet
  • Gibier : aucun en juillet

Quels fromages consommer en juillet ?

Les fromages répondent eux aussi à une saisonnalité particulière, en fonction du rythme des animaux eux-mêmes (vaches, chèvres ou brebis) et de leur propre alimentation. Ainsi, l’été est une période idéale pour la production de fromages, puisque les pâturages sont couverts d’herbages et permettent donc de donner un bon lait. 

La liste des fromages à déguster en juillet

  • Pâtes molles : brie, camembert, chabichou, maroilles, reblochon, rocamadour, pont l’Evêque, saint Félicien, saint Maure, saint Marcellin, tomme de Belley, valençay
  • Pâtes pressées : abondance, beaufort, cantal, emmental, gruyère, laguiole, mimolette, morbier, parmesan,  tomme de Savoie, Ossau-iraty, saint Nectaire
  • Pâte persillée : roquefort, bleu de Gex, bleu des Causses, fourme d’Ambert, bleu d’Auvergne, bleu de Bresse
  • Fromage frais : ricotta

Aromates du mois de juillet

En été, nous retrouvons des herbes aromatiques qui peuvent néanmoins être consommées toute l’année, sèches. La menthe, en particulier, est très bénéfique en temps de forte chaleur, notamment en infusion, car c’est une plante naturellement rafraîchissante. 

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Voici les 7 aliments les plus riches en oméga 3 - CNEWS

Les oméga 3 sont particulièrement recommandés par les nutritionnistes pour prévenir les maladies neurodégénératives. Ils auraient également un effet positif contre la dépression. Voici les 7 aliments qui en contiennent le plus.

Le saumon

Les poissons gras comme le saumon sont riches en oméga 3. Ils en ont une teneur très importante, soit plus de 4000 mg par portion de 100 gr. Plus la chair est foncée, plus le poisson en contient. Les nutritionnistes recommandent de privilégier les espèces sauvages plutôt que d’élevage qui risquent d’être davantage chargées en métaux lourds.

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©agto-nugroho-unsplash

L’huile de colza

L’huile de colza est une source d’acide alpha-linolénique (AAL), un acide gras de la famille des oméga-3. Elle n’est pas celle qui en contient le plus ni celle qui a le meilleur goût mais elle présente l’intérêt d’être la plus riche en nutriments. Pour en profiter, on l’utilisera en vinaigrette associée à de l’huile d’olives.

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©raquel-pedrotti-unsplash

Les œufs de poules en plein air

Les œufs sont aussi une source d’oméga 3 mais uniquement s’ils sont issus de poules élevées en plein air. En effet, c’est leur alimentation qui joue un rôle. Si ces dernières sont nourries aux graines de lin, leurs œufs seront particulièrement riches en oméga 3 :  ils sont directement transférés dans le jaune d'œuf lors de la digestion.

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©rebekah-howel-unsplash

Les graines de chia

Elles sont particulièrement à la mode. Les graines de chia sont une source non négligeable d’oméga 3. Elles sont aussi riches en minéraux, comme le manganèse, le calcium, ou le phosphore. On les achètera de préférence bio. Dans un yaourt ou sur une salade, elles s’associent facilement à tout.

Le soja

C’est sans doute l’aliment que les végétariens préfèrent pour ses qualités nutritives. Le soja est non seulement riche en fibres, en protéines mais aussi en oméga 3, soit 1443 mg pour 100 gr. En pousse, il se mange en salade ou encore mieux, dans un rouleau de printemps fait maison.

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©Julio César García de Pixabay

Les épinards

Parmi les légumes verts, l'épinard est celui qui contient le plus d'oméga 3, plus précisément de l'acide alpha-linoléique. En salade ou en gratin, on aurait donc tort de s'en priver. Les brocolis et la mâche en contiennent également.

Les noix fraîches

On les mange à partir du mois de septembre, quand elles viennent tout juste d’être ramassées sous un noyer. Les noix fraîches sont très riches en antioxydants et en oméga 3. C’est également un fruit très énergétique. D’après les nutritionnistes, l’idéal serait d’en manger 25 grammes chaque jour, soit l’équivalent de quelques noix.

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Tuesday, June 29, 2021

Les 12 aliments chouchous du microbiote - Top Santé

[DIAPORAMA] Le stress, une alimentation trop riche en graisses et pauvre en fibres ou encore certains médicaments empêchent notre microbiote d'être au top de sa forme. Qu'est-ce qu'on met dans l'assiette pour chouchouter notre flore intestinale ?

Le microbiote intestinal également appelé flore intestinale est l'ensemble des micro-organismes (essentiellement des bactéries) présents dans notre tube digestif. Il s'agit d'une combinaison de 100 000 milliards de bactéries de plus de 400 espèces. Un microbiote intestinal normal renferme des populations de bactéries diverses et bien équilibrées entre bactéries bénéfiques (Lactobacilles et bifidobacteries...) et bactéries nuisibles (Colibacilles, Salmonelles...). En symbiose avec l'intestin, le microbiote participe au bon déroulement de la digestion et de l'immunité.

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Vrai / Faux microbiote

Mais en cas de stress, d'alimentation mal équilibrée, de prise d'antibiotiques ou autres médicaments au long cours, d'infection virale ou bactérienne, notre écosystème intestinal peut être endommagé ... Les principaux signes d'un déséquilibre de la flore sont un transit intestinal perturbé avec ballonnements, flatulences, constipation ou diarrhée. Mais aussi des infections récidivantes (notamment mycoses intestinales ou vaginales, infections chroniques ORL), des intolérances alimentaires, une fatigue persistante ou encore peau terne ou ornée de petits boutons.

"Ce dont notre écosystème intestinal a besoin pour être au top de sa forme ce sont des bonnes bactéries (les probiotiques), une bonne nourriture pour nos bactéries (les prébiotiques), et une bonne barrière de protection (la muqueuse intestinale). Pour cela, l'alimentation joue un rôle clé" explique Véronique Liesse, diététicienne nutritionniste, auteure de Ma bible pour perdre du poids sans régime (éd. Leduc).

Nous sommes en partie acteurs de la composition de notre microbiote. "Une alimentation modérée en graisses, surtout saturées, avec une forte densité nutritionnelle mais une faible densité calorique, riches en fibres, fruits et légumes, légumineuses, épices, va influencer en bien la composition de toutes ces petites bêtes qui nous habitent" ajoute la diététicienne. Découvrez dans ce diaporama les aliments qui vont nous aider à chouchouter notre microbiote.

Sources :

Ma bible pour perdre du poids sans régime, Véronique Liesse (éd. Leduc)

Le grand livre des probiotiques et de prébiotiques, Danièle Festy et Anne Dufour (Ed. Leduc).

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2/12 - Les légumineuses
Mettez des légumineuses à vos menus trois fois par semaine au minimum : haricot secs, lentilles, pois chiches et pois cassés apportent des fibres et des prébiotiques qui qui augmentent la richesse du microbiote. Faites-en des purées (houmous),que vous tartinerez sur le pain à la place des matières grasses ou ajoutez-les à vos potages de légumes comme épaississants.

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3/12 - Le konjac
On trouve le konjac sous forme de bloc un peu gélatineux (le konnyaku) ou de spaghettis (les shiratakis). Cet aliment est surtout connu pour ses propriétés de coupe-faim naturel. Mais c'est aussi un excellent allié du microbiote car il est composé à 70% de fibres, et il possède des effets prébiotiques étonnants.

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4/12 - Les fruits rouges
Impossible d'atteindre la recommandation optimale de 30g de fibres par jour sans une alimentation majoritairement d'origine végétale. Mangez 2 ou 3 fruits par jours, avec la peau. Parmi ces portions, intégrez au moins une portion de fruits rouges (myrtilles, cassis, groseilles, mûres, raisons noirs) qui sont bons pour la muqueuse intestinale.

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5/12 - Le yaourt
C'est certainement l'aliment probiotique le plus connu. Le yaourt renferme les probiotiques les plus étudiés à ce jour : les bifidobactéries et les lactobacilles. Quelle que soit sa forme (ferme, brassé ou à boire), le yaourt renferme au minimum 10 millions de bactéries lactiques vivantes par gramme. Conseil : faites vos yaourts vous-même, ils seront meilleurs et vous pourrez les aromatiser avec des fruits.

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6/12 - La choucroute
La choucroute crue est très riche en bactéries lactiques c'est-à-dire en probiotiques. On trouve de la choucroute nature prête à être consommée. Privilégiez celle qui se trouve au rayon frais car la choucroute en bocal sous-vide pasteurisé a perdu une grande partie de ses bactéries.

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7/12 - Le kéfir de lait
Le kéfir est une boisson fermentée soit à base de lait soit à base de fruits. Le kéfir de lait se situe entre le yaourt à boire et le yaourt ordinaire, mais sa concentration en probiotiques est plus intéressante : les yaourts contiennent généralement seulement 2 à 4 espèces de bactéries pour 1 à 5 milliards de bactéries par pot alors que la plupart des kéfirs contiennent de 20 à 40 espèces de bactéries et de 7 à 50 milliards de bactéries, soit jusqu'à 10 fois plus.

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8/12 - Les olives noires et rouges lactofermentées
Les olives noires et rouges lactofermentées dans une saumure sont riches en bonnes bactéries. Bon à savoir : quasiment tous les légumes peuvent être lactofermentés : il suffit de mettre en pot les légumes crus en morceaux, d'y ajouter du sel et de l'eau ou juste du sel et de laisser fermenter une à deux semaines à température ambiante.

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9/12 - Le miso
Le miso est une pâte fermentée très salée à base de soja et de sel et qui peut contenir aussi du riz ou de l'orge. Le miso renferme de nombreuses bactéries « amies » pour notre flore intestinale. Le miso est un aliment extrêmement digeste car au fil de la fermentation les bactéries « amies » prédigèrent les graines de soja et ses protéines sont très bien assimilés.

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10/12 - La banane
La banane fait partie du top 10 des fruits et légumes à effet prébiotique. La banane est riche en FOS (Fructo-Oligo-Saccharides), qui stimulent les bactéries bénéfiques de notre côlon. Le melon et le kaki sont deux autres fruits riches en FOS.

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11/12 - Le topinambour
Le topinambour, riche en inuline, fibre aux propriétés prébiotiques, équilibre la flore intestinale. Mieux vaut le consommer cru pour profiter de ses vertus prébiotiques. Les poireaux, les salsifis, les asperges, les betteraves regorgent aussi d'inuline.

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12/12 - L'ail
L'un des atouts santé de l'ail est sa teneur très élevée en prébiotiques. Egalement appelées fructosanes, ces prébiotiques sont présents uniquement dans certains végétaux et ont pour rôle de nourrir les bonnes bactéries (ou probiotiques) du microbiote. Vous les troiuverez aussi dans les oignons.

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9 aliments sains qui remontent le moral - Presse santé

Lorsque vous vous sentez déprimé, il peut être tentant de vous tourner vers la nourriture pour vous remonter le moral. Cependant, les friandises sucrées et riches en calories auxquelles beaucoup de gens ont recours ont elles-mêmes des conséquences négatives. Vous pouvez donc vous demander si des aliments sains peuvent améliorer votre humeur.

Récemment, des recherches sur la relation entre la nutrition et la santé mentale ont vu le jour. Cependant, il est important de noter que l’humeur peut être influencée par de nombreux facteurs, tels que le stress, l’environnement, le manque de sommeil, la génétique, les troubles de l’humeur et les carences nutritionnelles.

Il est donc difficile de déterminer avec précision si les aliments peuvent vous remonter le moral. Néanmoins, il a été démontré que certains aliments améliorent la santé globale du cerveau et certains types de troubles de l’humeur.

Voici 9 aliments sains qui peuvent améliorer votre humeur.

1. Les poissons gras

Les acides gras oméga-3 sont un groupe de graisses essentielles que vous devez obtenir par le biais de votre alimentation car votre corps ne peut pas les produire lui-même. Les poissons gras comme le saumon et le thon germon sont riches en deux types d’oméga-3, l’acide docosahexaénoïque (DHA) et l’acide eicosapentaénoïque (EPA), qui sont liés à des niveaux plus faibles de dépression.

Les oméga-3 contribuent à la fluidité de la membrane cellulaire du cerveau et semblent jouer un rôle clé dans le développement du cerveau et la signalisation cellulaire. Bien que les recherches soient mitigées, une revue des essais cliniques a montré que dans certaines études, la consommation d’oméga-3 sous forme d’huile de poisson abaisse les scores de dépression.

Bien qu’il n’existe pas de dose standard, la plupart des experts s’accordent à dire que la plupart des adultes devraient consommer au moins 250 à 500 mg d’EPA et de DHA combinés par jour. Étant donné qu’une portion de 100 grammes de saumon fournit 2 260 mg d’EPA et de DHA, manger ce poisson quelques fois par semaine est un excellent moyen d’intégrer ces graisses dans votre alimentation.

2. Le chocolat noir

Le chocolat est riche de nombreux composés qui améliorent l’humeur. Son sucre peut améliorer l’humeur car il constitue une source rapide de carburant pour votre cerveau. De plus, il peut libérer une cascade de composés bénéfiques, tels que la caféine, la théobromine et la N-acylethanolamine, une substance chimiquement similaire aux cannabinoïdes qui a été associée à une meilleure humeur.

Le chocolat est riche en flavonoïdes qui favorisent la santé et dont il a été démontré qu’ils augmentent le flux sanguin vers le cerveau, réduisent l’inflammation et stimulent la santé cérébrale, ce qui peut contribuer à la régulation de l’humeur. Enfin, le chocolat a une cote hédonique élevée, ce qui signifie que son goût, sa texture et son odeur agréables peuvent également favoriser la bonne humeur. Comme le chocolat au lait contient des ingrédients ajoutés tels que du sucre et de la graisse, il est préférable d’opter pour du chocolat noir, qui est plus riche en flavonoïdes et moins riche en sucre ajouté. Vous devez néanmoins vous limiter à 1 ou 2 petits carrés (contenant au moins 70 % de cacao) à la fois, car il s’agit d’un aliment très calorique.

3. Les aliments fermentés

Les aliments fermentés, qui comprennent le kimchi, le yaourt, le kéfir, le kombucha et la choucroute, peuvent améliorer la santé intestinale et l’humeur. Le processus de fermentation permet aux bactéries vivantes de se développer dans les aliments et de transformer les sucres en alcool et en acides. Au cours de ce processus, des probiotiques sont créés. Ces micro-organismes vivants favorisent la croissance de bactéries saines dans votre intestin et peuvent augmenter les niveaux de sérotonine.

Il est important de noter que tous les aliments fermentés ne sont pas des sources importantes de probiotiques, comme dans le cas de la bière, de certains pains et du vin, en raison de la cuisson et du filtrage. La sérotonine est un neurotransmetteur qui affecte de nombreuses facettes du comportement humain, comme l’humeur, la réponse au stress, l’appétit et la libido. Jusqu’à 90 % de la sérotonine de votre corps est produite par votre microbiome intestinal, c’est-à-dire l’ensemble des bactéries saines présentes dans votre intestin.
En outre, le microbiome intestinal joue un rôle dans la santé du cerveau. La recherche commence à montrer un lien entre des bactéries intestinales saines et des taux de dépression plus faibles.

4. Bananes

Les bananes peuvent aider à inverser un froncement de sourcils. Elles sont riches en vitamine B6, qui aide à synthétiser les neurotransmetteurs de la bonne humeur comme la dopamine et la sérotonine. En outre, une grande banane fournit 16 grammes de sucre et 3,5 grammes de fibres. Associé aux fibres, le sucre est libéré lentement dans le sang, ce qui permet de stabiliser la glycémie et de mieux contrôler l’humeur. Des taux de glycémie trop bas peuvent entraîner de l’irritabilité et des sautes d’humeur. Enfin, ce fruit tropical omniprésent, surtout lorsqu’il est encore vert sur la peau, est une excellente source de prébiotiques, un type de fibre qui aide à nourrir les bactéries saines de votre intestin. Un microbiome intestinal robuste est associé à des taux plus faibles de troubles de l’humeur.

5. Avoine

L’avoine est une céréale complète qui peut vous garder de bonne humeur toute la matinée. Vous pouvez les déguster sous plusieurs formes, comme l’avoine de nuit, les flocons d’avoine, le muesli.
Elles constituent une excellente source de fibres, puisqu’elles en fournissent 8 grammes dans une seule tasse crue. Les fibres ralentissent la digestion des glucides, ce qui permet une libération progressive du sucre dans le sang et maintient la stabilité de votre niveau d’énergie.

Dans une étude, les personnes ayant consommé 1,5 à 6 grammes de fibres au petit-déjeuner ont déclaré avoir une meilleure humeur et de meilleurs niveaux d’énergie. Cela a été attribué à des niveaux de sucre dans le sang plus stables, ce qui est important pour contrôler les sautes d’humeur et l’irritabilité.

Bien que d’autres sources de grains entiers puissent avoir cet effet, l’avoine peut être particulièrement avantageuse, car elle est également une excellente source de fer, une tasse crue (81 grammes) apportant 19% de vos besoins quotidiens. L’anémie ferriprive, l’une des carences en nutriments les plus courantes, est associée à un faible apport en fer. Ses symptômes comprennent la fatigue, la léthargie et les troubles de l’humeur. Certaines recherches suggèrent que ces symptômes s’atténuent après la consommation d’aliments riches en fer ou la prise de suppléments de fer.

6. Baies

Curieusement, le fait de manger plus de fruits et de légumes est lié à des taux plus faibles de dépression. Bien que le mécanisme ne soit pas clair, une alimentation riche en antioxydants peut aider à gérer l’inflammation associée à la dépression et à d’autres troubles de l’humeur. Les baies contiennent un large éventail d’antioxydants et de composés phénoliques, qui jouent un rôle clé dans la lutte contre le stress oxydatif, un déséquilibre des composés nocifs dans votre corps. Elles sont particulièrement riches en anthocyanines, un pigment qui donne à certaines baies leur couleur bleu-violet. Une étude a associé un régime riche en anthocyanines à une réduction de 39 % du risque de symptômes de dépression. Si vous ne pouvez pas les trouver fraîches, essayez d’acheter des baies congelées, qui sont congelées à leur maturité maximale pour conserver la quantité maximale d’antioxydants.

7. Noix et graines

Les noix et les graines sont riches en protéines végétales, en graisses saines et en fibres. De plus, elles fournissent du tryptophane, un acide aminé responsable de la production de sérotonine, qui améliore l’humeur. Les amandes, les noix de cajou, les cacahuètes et les noix, ainsi que les graines de citrouille, de sésame et de tournesol, en sont d’excellentes sources.

De plus, les fruits à coque et les graines sont une composante importante des régimes MIND et méditerranéen, qui peuvent favoriser la santé du cerveau. Chacun de ces régimes favorise les aliments frais et complets et limite la consommation d’aliments transformés.

Enfin, certaines noix et graines, comme les noix du Brésil, les amandes et les pignons de pin, sont de bonnes sources de zinc et de sélénium. Une carence en ces minéraux, qui sont importants pour le fonctionnement du cerveau, est associée à des taux plus élevés de dépression.

8. Le café

Le café est la boisson la plus populaire au monde, et il peut aussi rendre le monde un peu plus heureux. La caféine contenue dans le café empêche un composé naturel appelé adénosine de se fixer sur les récepteurs cérébraux qui favorisent la fatigue, ce qui augmente la vigilance et l’attention.

De plus, elle augmente la libération de neurotransmetteurs qui améliorent l’humeur, comme la dopamine et la norépinéphrine. Les chercheurs ont attribué cette amélioration de l’attitude à divers composés phénoliques, comme l’acide chlorogénique.

9. Haricots et lentilles

En plus d’être riches en fibres et en protéines d’origine végétale, les haricots et les lentilles regorgent de nutriments bénéfiques. Ils constituent une excellente source de vitamines B, qui contribuent à améliorer l’humeur en augmentant les niveaux de neurotransmetteurs comme la sérotonine, la dopamine, la norépinéphrine et l’acide gamma aminobutyrique (GABA), qui sont tous importants pour réguler l’humeur.

En outre, les vitamines B jouent un rôle clé dans la signalisation nerveuse, qui permet une communication correcte entre les cellules nerveuses. De faibles niveaux de ces vitamines, en particulier la B12 et le folate, ont été liés à des troubles de l’humeur, comme la dépression. Enfin, ils constituent une bonne source de zinc, de magnésium, de sélénium et de fer non héminique, qui peuvent également vous remonter le moral.

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Prix des aliments : tout n'est pas perdu - L’actualité

Evan Fraser est directeur de l’Arrell Food Institute et professeur au Département de géographie, environnement et géomatique de l’Université de Guelph. Lenore Newman est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la sécurité alimentaire et l’environnement, à l’Université de la Vallée du Fraser.

Alors que la pandémie recule, les gens sont partout aux prises avec des loyers prohibitifs et des salaires qui stagnent. À l’épicerie, les clients doivent également composer avec une hausse des prix des aliments, un rappel brutal que les denrées de qualité sont hors de portée pour un trop grand nombre de personnes.

Les consommateurs ne sont pas habitués à ce que la nourriture coûte cher. Au cours des dernières années, la plupart des Nord-Américains ont consacré environ 10 % du revenu du ménage à leur alimentation. En comparaison, en 1900 (alors que le logement était beaucoup plus abordable), les ménages dépensaient 42 % de leur revenu pour la nourriture.

Cinq décennies plus tard, en 1950, les innovations technologiques en agriculture stimulaient la production, contribuant à faire chuter ces dépenses à 30 %, et la réduction des coûts alimentaires ne faisait que commencer. Ce chiffre est ensuite tombé à 18 % en 1960, et la tendance à la baisse s’accentue depuis.

Aujourd’hui, avec une inflation à la hausse, nous devons réfléchir à ce que nous pouvons faire pour que le prix d’une alimentation équilibrée reste à notre portée. Il existe deux grands courants de pensée : réduire la pauvreté ou réduire le coût de l’alimentation.

Ces deux approches ont chacune leur utilité, mais nous nous concentrerons sur la seconde : comment plafonner les coûts alimentaires. Plus précisément, nous croyons qu’avec les bonnes stratégies, dans un avenir relativement rapproché, même les aliments sains pourraient profiter d’une baisse des prix substantielle. Les clés du succès : la technologie et la politique. Que les sceptiques, et nous savons qu’ils sont nombreux, prennent l’exemple suivant.

Un pari datant de 40 ans

En 1980, un économiste a parié avec un écologiste.

Julian Simon, professeur de commerce à l’Université du Maryland, a parié avec Paul Ehrlich, écologiste à l’Université de Stanford, que le coût des matières premières allait baisser au cours de la décennie. Ehrlich a choisi un ensemble de matières premières et les deux hommes ont convenu de se revoir le 29 septembre 1990. Si les prix montaient (signe de rareté), Ehrlich gagnait. Mais s’ils diminuaient (signe d’abondance), Simon l’emportait.

L’origine de ce pari était liée à la vision du monde de chacun. Simon défendait avec vigueur sa conception d’une croissance sans limites grâce à l’innovation et la technologie. Ehrlich observait la dégradation mondiale de l’environnement et affirmait que l’augmentation de la population entraînerait la famine, des pénuries et la ruine.

Quarante ans plus tard, avec le spectre de l’inflation jumelé aux changements climatiques, le même débat refait surface. Entre les deux points de vue, nous penchons plutôt en faveur de l’optimisme affiché par Simon. Nous pensons que, grâce à la technologie, les produits alimentaires de qualité pourraient en fait devenir moins chers — radicalement moins chers même — au cours des 20 prochaines années, car l’innovation fournit de nombreux outils pour surmonter certains des problèmes causés par la pénurie de ressources.

Comment pouvons-nous y parvenir ?

Aujourd’hui, une vague d’innovations technologiques déferle sur les systèmes alimentaires et agricoles. Des semences de meilleure qualité aident les agriculteurs du monde entier à maintenir leur production pendant les sécheresses.

Les tracteurs intelligents, les nouvelles plateformes de chimie verte et les nanotechnologies permettront que, dans un avenir rapproché, les agriculteurs obtiennent des récoltes records en ne se servant que d’une fraction des engrais et des pesticides qu’ils utilisaient auparavant.

Autre atout, l’agriculture cellulaire, consistant à produire des protéines animales dans des bioréacteurs ou des cuves de fermentation, est sur le point d’exploser avec une offre énorme.

Et les progrès accomplis en matière d’éclairage artificiel et d’automatisation donnent à penser que même les fruits et légumes pourraient bientôt pousser à faible coût dans des serres et des fermes verticales proches des consommateurs.

Un « bon marché » sain ou malsain ?

Mais avant de s’emballer, il convient d’apporter une nuance importante. Si les aliments sont bon marché parce que les ressources environnementales sont surexploitées ou que les travailleurs agricoles et les animaux d’élevage sont maltraités, ça ne résoudra pas le problème. De même, si la nourriture bon marché est de mauvaise qualité et malsaine, cela ne nous avancera pas non plus. Il est donc important de faire la distinction entre le sain et le malsain quand il est question de nourriture abordable.

C’est à ce stade-ci que des politiques efficaces peuvent faire pencher la balance et nous permettre de régler la situation. Il faut des réglementations gouvernementales pour tarifer les émissions de gaz à effet de serre et la pollution de l’eau, afin que les agriculteurs soucieux de l’environnement soient récompensés.

De même, les animaux doivent être protégés et la main-d’œuvre, rémunérée équitablement (tant dans l’agriculture que dans l’ensemble de l’économie). Avec des politiques équilibrées et des technologies innovantes en matière de production, nous pourrons obtenir des aliments sains à faible coût de manière durable. Une alimentation de qualité n’aura pas à coûter les yeux de la tête.

Qui a gagné le pari ?

L’économiste a remporté son pari contre l’écologiste : toutes les ressources désignées par Ehrlich ont vu leur prix baisser dans les années 80. L’économiste Simon a attribué sa victoire à l’ingéniosité et l’innovation. Ehrlich s’est plaint quant à lui d’avoir mal choisi son moment et que la récession de 1990 avait artificiellement plafonné les prix.

Les deux universitaires avaient en partie raison et en partie tort. Ehrlich sous-estimait l’innovation que Simon portait aux nues. Simon, lui, n’a pas pris en considération la nécessité de politiques costaudes pour protéger la main-d’œuvre et l’environnement.

À l’aube du XXIe siècle, en cette période menacée par d’énormes perturbations mais également promise à de formidables innovations, nous avons besoin de deux choses.

Premièrement, nous devons miser sur la technologie pour qu’elle nous aide à changer la façon dont nous produisons les aliments. Ensuite, nous ne devons jamais perdre de vue la nécessité de politiques publiques qui reconnaissent l’importance de la biodiversité, du travail, du bien-être animal ainsi que le danger des changements climatiques.

Si nous adhérons à ces deux principes, il y a de fortes chances que nous soyons en mesure de faire baisser le prix de la production des denrées alimentaires saines sans détruire les écosystèmes dont nous dépendons pour survivre.

La version originale de cet article a été publiée sur La Conversation.

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Prix des aliments : tout n'est pas perdu - L’actualité
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Ces 5 aliments qui seraient bénéfiques pour la vue - CNEWS

Aujourd’hui, grâce aux lentilles et aux lunettes il est possible de corriger les faiblesses de ses yeux. Une bonne vue est un capital qui hélas s’étiole avec l'âge. Pour diminuer ces effets, l’alimentation a un rôle à jouer. Voici 5 aliments qui qui seraient bénéfiques pour la vue.

Les jaunes d’œufs

Avec l’âge, le risque de dégénérescence maculaire augmente. D’après deux études américaines publiées dans le Journal of Nutrition, le jaune d’œuf permettrait de prévenir ce phénomène. En effet, il contient deux puissants antioxydants, la lutéine et la zéaxanthine. Ces derniers auraient un effet protecteur sur la rétine et filtreraient notamment la lumière bleue.

L’avocat

L’avocat est lui aussi riche en lutéine. Il va donc aider à lutter contre certaines maladies oculaires et permettre de garder une bonne vue le plus longtemps possible. Il dispose par ailleurs de nombreux autres bienfaits.

L’orange

La vitamine C est essentielle pour la prévention de l’oxydation de la cornée. On la retrouve surtout dans les agrumes mais aussi dans de nombreux légumes... Plusieurs études ont prouvé que cette vitamine réduirait le risque de développer des cataractes.

Les épinards

Les épinards sont aussi une source importante de lutéine et de zéaxanthine. Ces deux antioxydants entretiennent la macula, la zone qui se trouve au centre de la rétine et qui permet de distinguer les couleurs. Il ne faut donc pas hésiter à manger des épinards.

Les fruits de mer

Rien de tel qu’une virée au bord de l’océan pour déguster un plateau de fruits de mer. En plus de nous régaler, les huîtres et les crustacés apportent leur lot de zinc. Cet oligoélément est primordial pour la vision. D’abord parce qu’il aide au bon fonctionnement du nerf optique. Ensuite parce qu’il va permettre de mobiliser la vitamine A qui est stockée dans le foie.

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Monday, June 28, 2021

Régime cétogène : les aliments à bannir - Medisite

Le régime cétogène séduit de plus en plus. Rihanna, Gwyneth Paltrow, Kim Kardashian ou encore Ayem Nour n’hésitent pas à vanter ses mérites. Connu pour faire perdre du poids rapidement, il conduit à miser principalement sur les matières grasses (poissons gras, volaille, viande rouge, œuf, beurre, huile végétale, vinaigre, olive, avocat, fromage à pâte dure…) et à faire l’impasse sur les glucides. Avec ce programme, plusieurs aliments sont à éviter comme le détaille notre diaporama.

Keto Diet : ses avantages et inconvénients

Le régime cétogène, aussi appelé Keto Diet, permet de perdre beaucoup de poids assez rapidement. Il a aussi des atouts santé non négligeables. Développé dans les années 1920, il était, en effet, prescrit aux enfants atteints d’épilepsie pour réduire leurs crises. Il se montre également bénéfique pour les patients atteints de cancer ou de maladies neurodégénératives

Dans un précédent article Medisite, Raphaël Gruman, nutritionniste, confirme qu’"en termes d'efficacité, on perd vite au niveau du poids" avec le Keto Diet. Par ailleurs, l’expert souligne également qu’il évite les fringales et est "facile à appliquer quand on va au restaurant". Il est plus facile de demander un accompagnement sans féculents qu'une cuisson sans matières grasses dans un restaurant ou chez des amis. 

Toutefois, le régime cétogène est assez restrictif comme le montre notre diaporama. Il n’est donc pas toujours évident à suivre pour ces adeptes.

De plus, cette diète fait débat chez les nutritionnistes. Ces détracteurs lui reprochent d’être trop peu équilibré, et de favoriser les carences notamment en fibres, vitamines et minéraux. Il est, par ailleurs, dangereux pour les personnes qui souffrent de diabète, de maladies cardiaques ou des reins.

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Cuisine : ces aliments à ne surtout pas mettre au four - Pleine vie

Le four est l'un des modes de cuisson privilégiés pour cuisiner moins gras, et pour de nombreuses autres raisons. Néanmoins, certains aliments ne devraient pas être cuits au four.

L'une des qualités de la cuisson au four est l'absence de graisse, donc la diminution des calories. Seulement, ce mode de cuisson a également ses inconvénients, tout comme la cuisson au micro-ondes ou encore les cuissons à la poêle et à la friture. Ces inconvénients ne résident pas dans le four lui-même, mais plutôt dans les températures atteintes par celui-ci lorsqu'il est en marche. A haute température, certains aliments peuvent même devenir dangereux, les voici.

Sur le même sujet

12 aliments à ne surtout pas mettre au micro-ondes

Quel mode de cuisson est le plus sain ?

La cuisson à la vapeur est souvent décrite comme l'une des meilleures cuissons. Non seulement elle ne requiert aucune graisse, mais en plus tous les nutriments y sont conservés. Contrairement au four, la température de la cuisson à la vapeur n'excède jamais 100°C. Ce mode de cuisson permet de limiter la destruction des vitamines, rapporte Top Santé.

Par ailleurs, la cuisson à la vapeur évite aussi la formation des éléments toxiques puisqu'il faut moins de temps pour cuire le cœur des aliments. En revanche, "les aliments ne doivent pas être trop près de l'eau bouillante, sinon, l'eau va se condenser dessus, retomber, se condenser de nouveau, retomber... , ce qui leur fait perdre saveur et nutriments", explique Raphaël Haumont, chimiste.

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© Shutterstock / Dago Martinez

2/6 - Le café
Selon l'étude du FAO et de l'OMS, relayée par l'EUFIC, le café constitue 13 à 39% de l'apport total en acrylamide. Ce composant, issu d'une réaction chimique de l'aliment à haute température, est soupçonné d'être cancérigène.

© Shutterstock / wideonet

3/6 - Certains féculents
Selon un rapport de l'EUFIC appuyé par une étude de l'OMS et l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), les féculents (pain, pommes de terre) cuits à très haute température pendant longtemps contiennent de fortes concentrations d'acrylamide. Ce composant pourrait être cancérigène une fois soumis à une température de plus de 120°C.

© Shutterstock / casanisa

4/6 - Les poivrons
Passés au four (au delà de 70°C), les poivrons perdent leur valeur nutritionnelle, mais il n'est pas dangereux de les consommer.

© Shutterstock / MaraZe

5/6 - Les croissants
Tout comme les féculents, soumis à de fortes températures, les composants des croissants développeraient de l'acrylamide, rapporte le média spécialisé Medisite.
A découvrir ici.

© Shutterstock / Nedim Bajramovic

6/6 - Le navet
Lorsqu'il est exposé à des températures élevées, le navet peut devenir toxique pour l'organisme, et causer une intoxication alimentaire à cause de sa forte teneur en nitrates.

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Sunday, June 27, 2021

Le prix des aliments augmente, peut-on inverser la tendance? - Journal Métro

Suivant une tendance déjà amorcée depuis quelques années, l’achat de nourriture a des impacts de plus en plus importants sur le portefeuille des Québécois. Cette hausse est-elle inévitable ou peut-on espérer un déclin dans l’avenir?

Par : Evan Fraser, University of Guelph et Lenore Newman, University of The Fraser Valley

Les consommateurs ne sont pas habitués à ce que la nourriture coûte cher. Au cours des dernières années, la plupart des Nord-Américains ont consacré environ 10 % du revenu du ménage à leur alimentation. En comparaison, en 1900, (alors que le logement était beaucoup plus abordable), les ménages dédiaient 42 % de leurs revenus à la nourriture.

Alors que la pandémie recule, les gens sont partout confrontés à des loyers prohibitifs et à des salaires qui stagnent. À l’épicerie, les consommateurs doivent également composer avec une hausse des prix des aliments, un rappel brutal que les denrées de qualité sont hors de portée pour un trop grand nombre de personnes.

Cinq décennies plus tard, en 1950, les innovations technologiques en agriculture ont stimulé la production, contribuant à faire chuter ces dépenses à 30 % ; une période où la réduction des coûts alimentaires ne faisait que commencer. Ce chiffre est ensuite tombé à 18 % en 1960, et la tendance à la baisse n’a fait que s’accentuer depuis.

Aujourd’hui, avec une inflation à la hausse, nous devons réfléchir à ce que nous pouvons faire pour que le coût d’une alimentation équilibrée reste à notre portée. Il existe deux grands courants de pensée : réduire la pauvreté ou réduire le coût de l’alimentation.

Les deux approches ont chacune leur utilité, mais nous nous concentrerons sur la seconde : comment plafonner les coûts alimentaires. Plus précisément, nous croyons qu’avec les bonnes stratégies, dans un avenir relativement rapproché, même les aliments sains pourraient profiter d’une baisse des prix substantielle. Les clés du succès : la technologie et la politique. Pour les sceptiques, et nous savons qu’ils sont nombreux, prenez l’exemple suivant.

Un pari datant de 40 ans

En 1980, un économiste a parié avec un écologiste.

Julian Simon, professeur de commerce à l’Université du Maryland, a parié avec Paul Ehrlich, écologiste à l’Université de Stanford, que le coût des matières premières allait baisser au cours de la décennie. Ehrlich a choisi un ensemble de matières premières et les deux hommes ont convenu de se revoir le 29 septembre 1990. Si les prix augmentaient (signe de rareté), Ehrlich gagnait. Mais s’ils baissaient (signe d’abondance), Simon l’emportait.

L’origine de ce pari était liée à la vision du monde de chacun. Simon défendait avec vigueur sa conception d’une croissance sans limite grâce à l’innovation et la technologie. Ehrlich observait la dégradation mondiale de l’environnement et affirmait que la croissance de la population entraînerait la famine, la pénurie et la ruine.

Quarante ans plus tard, avec le spectre de l’inflation jumelé au changement climatique, le même débat refait surface. Entre les deux points de vue, nous penchons plutôt en faveur de l’optimisme affiché par Simon. Nous pensons que, grâce à la technologie, les produits alimentaires de qualité pourraient en fait devenir moins chers — radicalement moins chers même — au cours des 20 prochaines années, car l’innovation fournit de nombreux outils pour surmonter certains des problèmes causés par la pénurie de ressources.

épicerie
L’épicerie et traiteur La Cena, sur la rue Guizot.

Aujourd’hui, une vague d’innovations technologiques déferle sur les systèmes alimentaires et agricoles. Des semences de meilleure qualité aident les agriculteurs du monde entier à maintenir leur production pendant les sécheresses.

Les tracteurs intelligents, les nouvelles plates-formes de chimie verte et les nanotechnologies permettront que, dans un avenir rapproché, les agriculteurs obtiennent des récoltes record en n’appliquant qu’une fraction des engrais et des pesticides qu’ils utilisaient auparavant.

Autre atout, l’agriculture cellulaire, consistant à produire des protéines animales dans des bioréacteurs ou des cuves de fermentation, est sur le point d’exploser avec une offre énorme en protéines.

Et les progrès accomplis en matière d’éclairage artificiel et d’automatisation donnent à penser que même les fruits et légumes pourraient bientôt être produits à faible coût dans des serres et des fermes verticales proches des consommateurs.

Un «bon marché» sain ou un «bon marché» malsain ?

Mais avant de s’emballer, il convient d’apporter une nuance importante. Si les aliments sont bon marché parce que les ressources environnementales sont surexploitées ou que les travailleurs agricoles et les animaux d’élevage sont maltraités, ça ne résoudra pas le problème. De même, si la nourriture bon marché est de mauvaise qualité et malsaine, cela ne nous avancera pas non plus. Il est donc important de faire la distinction entre le sain et le malsain quand il est question de nourriture abordable.

C’est à ce stade-ci que des politiques efficaces peuvent faire la différence et nous permettre de résoudre la situation. Il faut des réglementations gouvernementales pour tarifer les émissions de gaz à effet de serre et la pollution de l’eau, afin que les agriculteurs soucieux de l’environnement soient récompensés.

De même, les animaux doivent être protégés et la main-d’œuvre rémunérée équitablement (tant dans l’agriculture que dans l’ensemble de l’économie). Avec des politiques équilibrées et des technologies innovantes en matière de production, nous pourrons obtenir des aliments sains à faible coût de manière durable. Une alimentation de qualité n’aura pas à coûter les yeux de la tête.

Qui a gagné le pari ?

L’économiste a gagné son pari contre l’écologiste : toutes les ressources identifiées par Ehrlich ont vu leur prix baisser dans les années 80. L’économiste Simon a attribué sa victoire à l’ingéniosité et l’innovation. Ehrlich s’est plaint quant à lui d’avoir mal choisi son moment et que la récession de 1990 a artificiellement plafonné les prix.

Les deux universitaires avaient en partie raison et en partie tort. Ehrlich sous-estimait l’innovation que Simon portait aux nues. Simon, lui, n’a pas pris en considération la nécessité de politiques costaudes pour protéger la main-d’œuvre et l’environnement.

À l’aube du XXIe siècle, en cette période menacée par d’énormes perturbations mais également promise à de formidables innovations, nous avons besoin de deux choses.

Premièrement, nous devons miser sur la technologie pour nous aider à changer la façon dont nous produisons les aliments. Ensuite, nous ne devons jamais perdre de vue la nécessité de politiques publiques qui reconnaissent l’importance de la biodiversité, des changements climatiques, du travail et du bien-être animal.

Si nous adhérons à ces deux principes, il y a de fortes chances que nous soyons en mesure de faire baisser le prix de la production des denrées alimentaires saines sans détruire les écosystèmes dont nous dépendons pour survivre.

Evan Fraser, Directeur de l’Arrell Food Institute et Professeur au Dept. de Geography, Environment and Geomatics, University of Guelph et Lenore Newman, Canada Research Chair, Food Security and the Environment, University of The Fraser Valley

La version originale de cet article a été publiée sur La Conversation.

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Saturday, June 26, 2021

De nouveau, un rappel de produits alimentaires contenant de l'oxyde d'éthylène à des niveaux trop importants - LaDepeche.fr

l'essentiel De nombreux lots de produits alimentaires sont une nouvelle fois rappelés en raison d'un taux d'oxyde d'éthylène supérieur à la limite autorisée. 

Après les glaces, c'est un nouveau rappel de produits qui a été annoncé par le magazine 60 millions de consommateurs. Plusieurs lots de produits contenant une nouvelle fois un taux d'oxyde d'éthylène supérieur à la limite autorisée. 

\ud83d\udea8[#RAPPELS DE PRODUITS] Encore de nombreuses glaces mais aussi des sucres pour confitures et des compléments alimentaires parmi les derniers rappels. Toujours en raison d’un taux d’oxyde d’éthylène #ETO supérieur à la limite autorisée.
Tous les produits \ud83d\udc49https://t.co/uyHxslIgOt pic.twitter.com/Go7Joj7QLq

— 60 Millions de consommateurs (@60millions) June 26, 2021

Parmi les produits rappelés, il y a une nouvelle fois des glaces et des sorbets, des paquets de sucre, plus particulièrement du sucre pour confitures, mais également des compléments alimentaires, des fromages, des biscuits ou encore des boîtes de thon. 

A lire aussi : Rappel massif de glaces vendues en grandes surfaces : que faire si vous avez consommé ou acheté ces produits ?

L'oxyde d’éthylène sert à désinfecter les produits et est interdit en Europe depuis 2011 car classé comme cancérogène. Ce gaz de fumigation sert à traiter les aliments contre les bactéries. La liste complète des produits rappelés est disponible sur le site de 60 millions de consommateurs. 

A lire aussi : Rappel de 7 000 produits contaminés  : "On manque de contrôles officiels", alerte un sénateur

Il y a peu, c'est le sucre en poudre qui faisait parler de lui. Plusieurs lots de sucre de la marque Béghin Say, vendus en grande surface et destinés à la confection de confitures et de gelées, ont fait l'objet d'une procédure de rappel, car ils contiennent un pesticide à des niveaux supérieurs à la législation, a-t-on appris mardi auprès du groupe sucrier Tereos et de la répression des fraudes.

Trois types de sucre, et en tout 1 000 tonnes de produits sont concernées par ce rappel : le "Spécial Confitures" sucre blanc, le "Spécial Confitures au blond de canne" et le "Spécial Gelées", a-t-on appris auprès de Tereos.

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FEMME ACTUELLE - Le top des aliments pour booster son immunité - Yahoo

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