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Wednesday, March 1, 2023

FEMME ACTUELLE - Le top des aliments pour booster son immunité - Yahoo

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F1 : Une écurie effraie tout le paddock

Fernando Alonso s'apprête à effectuer ses grands débuts avec Aston Martin ce dimanche au Grand Prix de Bahreïn. Depuis son arrivée, il a remis l'écurie britannique dans la lumière, voir même un peu plus que ça. En effet, c'est tout le paddock qui commence à regarder de plus près Aston Martin, à l'image d'Esteban Ocon.

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Nutrition : ces aliments qui jouent sur votre humeur - aufeminin

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NEWS
LETTERS

du fun, des news, des bons plans... what else ?

De nombreux aliments jouent sur la production de sérotonine, neurotransmetteur responsable de notre humeur. Une spécialiste détaille les aliments qu'il faut à tout prix proscrire de son régime pour éviter de faire la moue !

Il est courant de dire que l’intestin est notre “deuxième cerveau”. Et pour cause, les q​​uatre neurotransmetteurs que sont la dopamine, l’acétylcholine, le GABA et la sérotonine sont pour grande partie produits dans les intestins. En ce qui concerne la sérotonine, c’est même le cas à 90%, dont le rôle est de réguler une vaste gamme de fonctions comme l’humeur, le sommeil, la tension, le comportement et même la thermorégulation. Elle assure également l’arbitrage des fonctions vasculaires, du cœur et dans la mobilité gastro-intestinale. Sans le savoir, tout ce que vous mettez dans votre assiette permet donc d’agir sur les niveaux de sérotonine sécrétés par des neurones spécifiques appelés neurones sérotoninergiques.

Certains aliments vont stimuler leur production, et donc vous procurer davantage “d’hormones du bonheur”, tandis que d’autres vont avoir l’effet inverse. De ce fait, il serait dommage de consommer des choses qui nous rendent anxieux et ronchons, en plus d’être mauvaises pour notre santé. “Des niveaux de sérotonine équilibrés nous aident à réguler nos émotions et à stabiliser notre humeur, c'est pourquoi la sérotonine est souvent appelée un stabilisateur naturel de l'humeur”, explique Caroline Leaf, neuroscientifique cognitive et fondatrice de l’application NeuroCycle au site Well+Good. D’après la spécialiste, il existe trois catégories d’aliments à éviter au maximum.

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Sauts d’humeur : les trois catégories d’aliments à bannir de son régime alimentaire

Caroline Leaf tire la sonnette d’alarme en premier lieu sur les collations ou snacks sucrés, bourrés d’ingrédients raffinés (procédé visant à supprimer certains éléments de l'aliment pour étendre sa durée de conservation) et responsables d’une baisse temporaire du taux de sérotonine. Cela comprend beaucoup de produits mis à disposition sur le marché tels que les boissons sucrées, les desserts emballés, les barres chocolatées ou encore les céréales sucrées pour le petit déjeuner. Il en va de même pour les acides gras trans, ou graisses hydrogénées, deuxième catégorie d’aliments qui fait partie de la liste noire de la spécialiste. On les trouve dans de nombreux produits alimentaires transformés comme les pizzas, les plats préparés, la margarine, les quiches…

Certaines études vont même à dire qu’une forte consommation de gras trans peut, en plus de réduire la production de sérotonine dans le cerveau, entraîner un risque de dépression et affecter négativement la mémoire. Enfin, à supprimer au maximum de sa liste de course : les produits hautement transformés (ce qui est plutôt similaire aux produits évoqués précédemment). “Ces aliments, lorsqu'ils sont consommés en excès au fil du temps, peuvent affecter notre santé intestinale, où la majeure partie de la sérotonine du corps est produite. Comme pour la plupart des choses dans la vie, la modération est essentielle”, ajoute la Dre Leaf.

Marjorie Raynaud

Journaliste société-lifestyle

Véritable touche-à-tout, Marjorie peut à la fois parler de la famille royale comme de la dernière série en date... Ce qu'elle aime, c'est raconter des faits, décrypter les moindres détails …

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Les aliments qui ont le plus gonflé de prix en un an - Le Soir

MICC : vers un renforcement de la sécurité sanitaire des aliments - Madagascar Tribune

Le ministère de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation (MICC) a signé hier, avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) le lancement du projet portant sur le renforcement du système national de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments.

La sécurité sanitaire des aliments est devenue un sujet de préoccupation de plus en plus important en ce qui concerne la santé des consommateurs, le renforcement de la sécurité alimentaire et la promotion du commerce international. A travers ce projet, Madagascar entend cadrer la sécurité sanitaire des aliments avec les normes internationales, à analyser les lois et règlements y afférente et à accompagner le Comité National du Codex Alimentarius.

Le Codex Alimentarius, ou « Code alimentaire », a été créé conjointement par la FAO et l’OMS en 1963 afin de mettre au point des normes alimentaires internationales. Il renferme les normes et documents mis en place, à l’échelle internationale, afin de garantir la sécurité sanitaire des aliments en vue de leur commercialisation. Madagascar fait partie des 188 pays membres de ce Codex.

Les inquiétudes du public concernant la sécurité sanitaire des aliments placent souvent le Codex au cœur des débats mondiaux. Les médicaments vétérinaires, les pesticides, les additifs alimentaires et la présence de contaminants dans les aliments sont quelques-uns des sujets examinés lors des réunions du Codex. Les normes du Codex sont élaborées à partir de données fournies par des organismes internationaux et indépendants d’évaluation des risques ou bien dans le cadre de consultations spéciales organisées par la FAO et l’OMS.

Bien qu’elles ne soient que des recommandations applicables à la discrétion des pays membres, les normes du Codex sont souvent à l’origine des législations nationales.

Le Comité national du Codex Alimentarius de Madagascar a été mis en place depuis 2006. L’objectif défini à l’époque a été le renforcement des capacités des systèmes nationaux d’inspection et de certification. Il était question de le doter d’outils et méthodes de travail et promouvoir la diffusion de l’information et l’amélioration de la participation de Madagascar aux travaux de la Commission du Codex Alimentarius. Cette perspective se poursuit encore aujourd’hui, car en adhérant au Codex, Madagascar participe à renforcer sa capacité à être plus compétitif sur les marchés mondiaux, où les produits sont extrêmement réglementés.

La quantité de denrées alimentaires commercialisées au niveau mondial a littéralement explosé au cours du siècle dernier pour atteindre aujourd’hui des niveaux et une diversité inimaginables. Le commerce international de ces denrées représente 2000 milliards d’USD par an et des milliards de tonnes d’aliments sont produits, transportés et mis sur le marché.

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Tuesday, February 28, 2023

Flambée des prix alimentaires : panier léger - LaDepeche.fr

l'essentiel Les produits alimentaires ont augmenté de 14,5% en un an. Et ce n'est pas fini préviennent les professionnels de la grande distribution et de l'industrie agroalimentaire qui table sur une nouvelle hausse de 10% dans les prochaines semaines. L'édito de Dominique Delpiroux.

Le pire n’est jamais certain. Déjà, les consommateurs étaient estomaqués, de voir que dans leur supermarché, les prix ont valsé vers les sommets. Désormais, on y regarde à deux, trois ou quatre fois, avant d’acheter un chou-fleur rabougri ou une boîte dont les œufs valent de l’or. En une année, nous avons attrapé des réflexes de grigous, bien obligés.

Eh bien, nous promet-on, vous n’avez encore rien vu : l’inflation va s’accélérer, en mars, en avril et en mai. Et peut-être qu’en juin, cela se calmera, mais rien n’est sûr ! La main sur le cœur, les patrons de grands groupes de distribution viennent nous avertir que les prix vont flamber, mais que ce n’est pas de leur faute. Et on accuse, en vrac, le coût de l’énergie, des transports, des matières premières, voire l’augmentation des salaires (ah bon ? où ça ?) qui justifient ces hausses tous azimuts. Qui, au final, seront bel et bien répercutées sur le dernier maillon de la chaîne, le consommateur. Dont le panier est, mécaniquement, de plus en plus léger.

Voilà des décennies qu’on n’avait pas connu une telle inflation. Avec sans doute un double effet, puisqu’on nous promet cette rebelote au printemps. Avec quelles conséquences ?

C’est sur l’alimentation que les choses seront le plus compliquées. Une partie de nos concitoyens, qui vivent décemment, n’ôteront pas grand-chose dans leur chariot de courses, quitte à rogner sur les loisirs ou les vacances.

En revanche, pour d’autres qui voient leurs tickets de caisse plomber leur budget, ce sera compliqué de bien manger. On le voit notamment avec le coup de froid sur le bio. Ses producteurs eux aussi subissent les effets de la crise et leurs coûts s’envolent. Mais les ventes, qui ne cessaient de progresser, stagnent, voire reculent, car le bio reste plus cher que les produits ordinaires. On le sait : les clients se rabattent aujourd’hui vers les "marques distributeurs", à petits prix, mais pas forcément au top question diététique ou respect de l’environnement. Bref, les Français mangent moins bien, moins bon, et peut-être même, pour les plus pauvres, moins tout court. Et ce n’est pas une bonne nouvelle pour leur santé, car les aliments trop bon marché sont ceux qui contiennent le plus de sucres, de sel, de graisses, et nous mijotent diabète, obésité ou cholestérol. À l’heure d’un salon de l’agriculture qui montre le meilleur de ce que peut produire notre pays, c’est un peu triste.

Ce qui est encore plus triste, c’est de voir que les Restos du Cœur et autres Banques alimentaires tournent à plein régime, comme jamais. Le nombre de leurs bénéficiaires a triplé en dix ans. Ces derniers mois, ils ont accueilli une vague de nouveaux démunis. Au printemps, faut-il redouter un tsunami ?

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Sunday, February 26, 2023

Achats alimentaires : la note d'importation du pays grimpe de Rs 39,7 Md à Rs 52,8 Md en un an - Le Defi Media Group

Rs 320 milliards c’est le montant total des importations auquel le pays s’attend en 2023. Un chiffre qui ne cesse de grimper au fil des ans. 

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Ces chiffres qui retiennent l’attention

  • Les exportations du pays se chiffrent à Rs 101,68 milliards en 2022 alors que la note d’importation s’élève à Rs 292,4 milliards. Le déficit commercial est donc estimé à Rs 190,74 milliards. 
  • Pour 2023, Statistics Mauritius table sur des exportations de Rs 110 milliards et des importations de Rs 320 milliards. Le déficit commercial devrait donc tourner autour de Rs 210 milliards.
  • Le pays a importé des aliments pour une valeur totale de Rs 52,8 milliards en 2022 contre Rs 39,7 milliards en 2021. 
  • La note d’importation pour les boissons et cigarettes (Rs 5,95 milliards), les produits pétroliers (Rs 66,83 milliards) sont en hausse en 2022 comparativement à 2021. Par contre, on enregistre une baisse dans l’importation de médicaments et produits pharmaceutiques (Rs 10,15 milliards en 2021 vs Rs 7,66 milliards en 2022)
importation

La quantité importée* 

Riz : 63 000 tonnes

Blé : 147 000 tonnes

Poisson : 134 000 tonnes

Produits laitiers : 30 000 tonnes

Viande : 19 000 tonnes

Huile : 40 000 tonnes 

Source : Statistics Mauritius (Rapport publié le vendredi 24 février)  

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Compléments alimentaires pour les vaches, moins manger de viande... Quelle agriculture demain? - Nice matin

Une vache ça rumine. Cette digestion lente produit du méthane, un gaz à effet de serre qu’elle libère surtout en rotant et dans une moindre mesure par ses pets, contrairement à une idée reçue. Le méthane est environ 25 fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2) imputable aux activités humaines.

Alors que les mangeurs de viande sont de plus en plus montrés du doigt, en raison de l’impact environnemental du bétail, l’Institut de l’élevage affirme pouvoir baisser de 30% les émissions entériques (relatives aux intestins) d’ici 2035.

Des compléments alimentaires contre les rots

"C’est possible en jouant sur la génétique, sur une alimentation moins fermentescible et en ajoutant un additif à base d’algue dans l’alimentation des vaches" indique Jean-Paul Bordes, le directeur général d’Acta, un groupement de dix-neuf instituts techniques agricoles.

Cela ne résout pas tous les problèmes liés à ces élevages, devenus de plus en plus criants face au changement climatique. Entre autres celui de la quantité d’eau consommée par les bovins: 75 à 150 litres par jour pour une vache laitière. Ou encore le fait qu’il faut environ 10kg de protéines végétales pour produire un kilo de protéines de bœuf ou de mouton. L’essentiel de ces protéines provenant du soja et du blé. Des arguments qui pèsent dans les luttes engagées par les végétariens et les végans pour changer les modes de consommation alimentaire.

Dans le pavillon élevage, où Ovalie, la vache star du salon, continue de séduire, l’INTERBEV, Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, prône le régime flexitarien. C’est "un consommateur responsable et éclairé qui mange aussi bien des aliments d’origine animale que d’origine végétale. Il mange en conscience et savoure ses aliments sans culpabilité."

Les visiteurs vident en un rien de temps les présentoirs où s’alignent tout un tas de livrets sur le régime flexitarien, proposant des recettes à base de viande évidemment. Le salon de l’Agriculture est un lieu de lutte, de contradictions, de pouvoir, de lobbying.

Les agriculteurs paysans se défendent

Chacun y va de sa solution pour lutter contre le changement climatique. Les défenseurs du bio n’ont jamais été aussi présents. La Confédération paysanne milite pour le retour à une agriculture paysanne et "pour une production de matières premières de qualité, en respect de l’eau, du ciel, de la Terre et de la biodiversité, insiste Marie-Pierre Répécaud, paysanne boulangère en Isère, qui transforme ses céréales en farine pour faire son pain. Elle est aussi secrétaire nationale du syndicat. La bio ingénierie conforte un modèle pour produire plus avec ces maudites molécules de synthèse qui polluent." Des pesticides qui tuent les abeilles. Et de préciser que Christiane Lambert, présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) a diffusé un communiqué pour défendre la filière, tout en demandant à l’Europe de ne pas supprimer certains pesticides.

La confédération paysanne s’oppose aux bassines, ces retenues d’eau remplies en pompant dans les nappes phréatiques. Jean-Paul Bordes d’Acta estime que "c’est un principe agroécologique, que de créer ces réservoirs car on pompe quand il y a des excès d’eau dans les nappes et uniquement quand le préfet l’autorise."

À l’heure du numérique

La lutte contre le changement climatique passe aussi selon lui par "le numérique présent partout dans l’agriculture": capteur qui compte les grains de perte derrière la moissonneuse-batteuse pour permettre de mieux la régler et éviter le gaspillage; bracelet au pied des vaches pour savoir si leur comportement est normal; capteur de la grosseur d’un grain de riz glissé sous la peau d’un cheval pour être averti s’il a trop chaud et veiller au bien-être animal. Ce qui pourrait s’appliquer à d’autres animaux. Trouver des solutions concrètes pour les agriculteurs, c’est le rôle des instituts techniques agricoles.

Les images satellites sont censées venir au secours les abeilles. Elles permettent d’indiquer aux exploitants les endroits où les haies manquent, là où il faut planter de nouvelles cultures pour qu’elles trouvent à manger en été, par exemple en conservant un pourcentage de tournesol sur les surfaces cultivées.

Le progrès alimente le progrès. Jean-Paul Bordes a été invité à donner son avis au sénat sur la viande cellulaire, produite en cultivant des cellules animales. C’est interdit en France mais cela éliminerait la nécessité d’élever et de tuer des animaux. Face au changement climatique, de quel côté penchera la balance?

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